Première Partie
I
Une nouvelle vie
Samedi 7 Novembre 2009
Depuis que j'étais sortie de mon petit studio, le vent s'était soudainement levé, il semblait me crier des avertissements, pendant un long moment je me mis à ressentir une sorte de crainte. Mais je me ressaisi à temps car sinon j'aurais fait demi-tours de suite. Heureusement personne m'avait vu avoir peur du vent, cela aurais était ridicule, j'avais déjà assez l'habitude de me faire remarquez par mon éternelle maladresse. Miss fléau c'est moi ! je portais ce surnom depuis ma plus tendre enfance. Mais cela appartenais au passé du moins je l'espérai, je comptais bien menais une nouvelle vie à Louisville.
J'étais optimiste pour mon premier jour à la fac de lettre de cette magnifique ville. Je repris mon souffle et je jetai un rapide coup d'œil sur ma montre, il est huit heure, je me mis a pressez le pas pour ne pas être en retard pour mon premier jour. Les cours commence à huit heure et demi, il me restait donc une bonne demi-heure pour y allez. Je passai devant des vitrines magnifiquement décorais, une vielle dame me souriez de sa bouche édentais, elle portait un long manteau noir et elle avait une longue chevelure d'un gris poivré.
J'avais l'impression de l'avoir déjà vu avant, mais où je n’en avais aucune idée, sans vouloir être méchante elle me faisait penser à la cruelle sorcière de blanche neige. Je détournai les yeux et me mit à courir à toute allure et dans ma course folle je percutai un homme de plein fouet, en me cognant contre lui j'eus la sensation de m'être cognais contre un mur de pierre. Comme à mon habitude je m'étais encore mit en situation délicate. Le jeune homme m'aida à me relever, il m'offrit sa main qui était ganté de gant noir en faux cuir, je le trouvai d'une beauté éblouissante, cheveux brun en bataille, yeux bleu vert, très grand au moins un 1m85 et un sourire a damné un saint.
- Rien de cassez, mademoiselle ? Me demanda-t-il l'air inquiet
- Je vais bien, merci de le demander et je suis désoler de vous être entrée dedans
- Ce n’est pas grave.
Je ne lui laissai pas le temps de finir sa phrase et je repris ma route mais cette fois si, en regardant bien ou je mettais les pieds. Mon dieu quel honte ! Je réussi finalement à arriver à bonne destination, mais pas sans encombre. Je fus sur le choque en voyant l'université, elle était d'une tel grandeur, sur internet je la voyais beaucoup plus petite. Je pris mon courage à deux mains est je me suis diriger vers le hall d'entrée qui étais surveiller par deux grand vigile avec des chien tout aussi grand. A côté de ses deux là j'avais l'air d'une naine avec mon 1m50, je tenais ma taille de ma grand-mère maternel et de mon père j'ai héritier de ses yeux vert et ses cheveux brun. A l'école ont m'appeler Miss Fléau à lunette.
Quel grandeur !je me sens de plus en plus petit à chacun de mes pas, tout en posant mon sac à doc sur le premier banc de libre, je me mis à fouiller frénétiquement mon emploi du temps et ainsi que mon plan de la fac. Au bout de quelque minute je trouvai enfin ce que je désirer. Mon premier cour se passe dans la salle 105, l'histoire du journaliste avec Mr Molina. Il me reste plus qu'à trouver cette fameuse salle, je jetai un rapide coup d'œil sur mon petit plan qu'on m’avait donné lors de mon inscription. D'après le plan elle se situe dans l'allée A, pour moi c'était comme du chinois ce plan, je pris donc mon courage à deux mains et je me dirigeai vers un petit groupe:
- Bonjour, excusez-moi de vous dérangé, je voudrais savoir où se trouve la salle 105?
- Salut, justement il faut attendre ici monsieur Molina me répondit la jeune fille blonde comme les blés avec un accent qui était sûrement du Texas et elle était à peine plus grande que moi.
- Merci beaucoup
- Je m'appelle Brooke et toi?
- Breanna
- Je vais te présenter au groupe, alors lui c'est Timmy; elle me montra un garçon avec des cheveux noir, il était de taille moyenne. Elle s’est Victoria; Elle était d'une beauté à couper le souffle, cheveux auburn qui lui arrivèrent à la taille, elle devait au moins mesurer 1m75 et elle était habillée à la dernière mode.
- Enchanté de vous rencontrer leur dit-je d'une toute petite voix
- Tu viens de France? Me demanda victoria tout en faisait claquer son chewing-gum entre ses dent
- Oui. Dans la bourgade de Foix
- Cool me dit-t-elle
- Tient voilà monsieur Molina qui vient vers nous.
Quand il eut fini de faire l'appel, il nous emmena dans notre salle de classe. Elle était assez étroite avec un affreux mur de couleur vert pomme. On devait être au moins une bonne vingtaine d'étudiants. Cela me semblais vraiment bizarre, quand je mettais inscrite à ce cours, on m’avait dit qu'il n'y a plus de place et j'avais dû attendre une bonne semaine pour qu'on me dise que finalement il rester une place pour ce cours si convoiter par les étudiants. «Breanna, concentre-toi sur ton cours. » Pensai-je en ronchonnant
Il faut que vous vous choisissiez un sujet pour un reportage. Évidemment, il faudra un thème historique. Avez-vous des questions?
- Faudra-t-il être en groupe? Demanda un garçon qui je crois s'appelle John
- Jeune homme, votre question n'a pas lieu d'être
- Mais... Mais ce mit-t-il a bégayée
- Puisque que vous n’avez pas de question, je vais vous expliquer ce que j'attends de vous. C'est un projet que vous devais faire tout seul, vous aurais trois semaine pour le réalisé. Je vais vous faire passer une feuille avec vos instructions pour votre projet.
Il nous fit donc passer les instructions, un mec roux d'une pâleur extrême me passa ma fiche de consigne. Quand ses doigts m'effleura je ressentie une sorte de décharge électrique plutôt désagréable. Et en plus il était tellement froid que cela me fit l'effet d'avoir mis les deux mains dans un congélateur. Je me dépêchai donc de prendre ma fiche, il me fait vraiment peur, mais comme je ne veux pas lui montrer je me contentai de le regarder droit dans les yeux comme on me l’avait appris chez les scouts. Cela eu pour effet de le faire sourire. Et là je vous jure! Je crue voir de dent plutôt pointue qui briller avec la lumière du jour. Je devais sûrement rêver, car cela ne peut être possible. Je reportai mon attention sur cette fameuse liste et me mit sans m'en rendre compte à la lire à haute voix, mais en français ce qui eut pour effet de me fait encore plus remarquer par la classe. Et donc de Monsieur je me la raconte:
- Alors, mademoiselle Robel, avez-vous quelque chose à nous faire partager?
- Non, monsieur je me la ra...
Évidemment cela eu pour résultat de faire rire toute la classe, sauf bien sûr le prof et aussi celui qui sembler être le chouchou de Mr Molina.
- euh, monsieur Molina
- Levez-vous et vous allez nous lire ce que j'attends de la classe et bien sûr cette fois en anglais.
- Bien
Je me levai donc de mon siège et me mit à lire:
«Consigne n°1: réaliser le travail seul sans aucune aide
Consigne n°2: l'effectuer avec une caméra pour illustré votre sujet
Consigne n°3: Vous avez trois semaines pour le terminer.
II
Des nouveaux amis cool
Après cette longue journée je n'avais qu'une envie me coucher. Depuis ce matin je n'arrêter pas de penser à l'incident que ma maladresse avais causé. Mais plus particulièrement du bel étranger que j'avais percuté de plein fouet. Je suis une idiote il aller se présenter, mais je ne lui est pas laisser le temps, je sais vous vous demander bien pourquoi? Eh bien! Pour la simple raison que je venais de me foutre tout simplement la honte. Je ne pouvais tout de même pas lui dire: «salut je m'appelle Breanna Robel et comme vous l'avez remarqué je suis d'une grand maladresse.». Cela aurais était vraiment plus ridicule que de lui foncez dessus. En plus pour ne pas arranger le tout, mon prof principal et tout simplement un connard et je pèse mais mots. Ma première journée ne s'était pas tout à fait dérouler comme je l'espérai. Mais bon, qui puis-je. Je pris la direction de mon casier, pour pouvoir récupérer mes affaires. Ensuite je pourrai dormir du sommeil du juste, du moins je l'espère. Au moment où je mis attendez pas, une main ce posa sur mon épaule, ce qui eu pour effet de ma faire sursauter.
- Excuse-moi je ne veux pas te faire peur me dit une petite voix familière
- Ce n'ai rien, Brooke je sursaute tout le temps car je suis une vrai poule mouiller
- OK je m'en rappellerais à l'avenir
- C'est gentil de ta part, au faite tu veux me parler?
- Ah oui! J'allais oublier, veut-tu venir avec Victoria, Timmy et moi boire un verre
Je trouver ça sympa de leur parts de vouloir m'accueillir dans leur groupe, mais franchement je suis tout simplement lessiver par ma journée.
- C'est cool de votre part mais pour te dire la vérité je suis crevé
- d'accord, c'est dommage me dit-t-elle l'air déçu
Au moment où elle s'apprête à faire demi-tour, je lui dis;
- « C'est OK pour ce soir mais pas trop longtemps »
- Génial, ne bouge pas d'ici, je vais cherchez les autres
- Pas de problème
Je ne sais pas ce qui m’a pris de dire oui finalement, enfin si je sais, je n'ai jamais pu dire non. Tant pis! Pour ma soirée de libre, je vais peut-être apprécier et puis je me plein toujours de ne pas avoir d'amis. Pour une fois que je rencontre des personnes « cool » autant en profiter un maximum.
- Je suis contente que tu aies fini par dire oui dit Victoria
- Ouais, tu vas voir on va bien amuser enchérie Timmy
On prit la voiture de brooke, c'était une chevrolet décapotable de couleur bleu. En un mot sublime pour une voiture. Une fois j'ai essayée de passer le permis, ce fut une horreur. Encore une fois je fus victime de ma poise. Depuis ce jours ou j'ai bien failli entrer dans la boutique du vieux Macpherson je me suis fait la promesse de ne plus retentais le coup et jusqu'à présent je n'ai pas dérobée à la règle. J'espère ne pas rentrer trop tard, la nuit me fait peur et plus encore depuis que j'ai emménagé dans cette ville plein de mystère et j'ai l'impression d'être surveiller en permanence depuis mon arriver ce qui évidemment est faux car qui voudrait me suivre dans ma vie si ordinaire. La réponse personne ! Donc je me fais des films comme toujours.
I
Une nouvelle vie
Samedi 7 Novembre 2009
Depuis que j'étais sortie de mon petit studio, le vent s'était soudainement levé, il semblait me crier des avertissements, pendant un long moment je me mis à ressentir une sorte de crainte. Mais je me ressaisi à temps car sinon j'aurais fait demi-tours de suite. Heureusement personne m'avait vu avoir peur du vent, cela aurais était ridicule, j'avais déjà assez l'habitude de me faire remarquez par mon éternelle maladresse. Miss fléau c'est moi ! je portais ce surnom depuis ma plus tendre enfance. Mais cela appartenais au passé du moins je l'espérai, je comptais bien menais une nouvelle vie à Louisville.
J'étais optimiste pour mon premier jour à la fac de lettre de cette magnifique ville. Je repris mon souffle et je jetai un rapide coup d'œil sur ma montre, il est huit heure, je me mis a pressez le pas pour ne pas être en retard pour mon premier jour. Les cours commence à huit heure et demi, il me restait donc une bonne demi-heure pour y allez. Je passai devant des vitrines magnifiquement décorais, une vielle dame me souriez de sa bouche édentais, elle portait un long manteau noir et elle avait une longue chevelure d'un gris poivré.
J'avais l'impression de l'avoir déjà vu avant, mais où je n’en avais aucune idée, sans vouloir être méchante elle me faisait penser à la cruelle sorcière de blanche neige. Je détournai les yeux et me mit à courir à toute allure et dans ma course folle je percutai un homme de plein fouet, en me cognant contre lui j'eus la sensation de m'être cognais contre un mur de pierre. Comme à mon habitude je m'étais encore mit en situation délicate. Le jeune homme m'aida à me relever, il m'offrit sa main qui était ganté de gant noir en faux cuir, je le trouvai d'une beauté éblouissante, cheveux brun en bataille, yeux bleu vert, très grand au moins un 1m85 et un sourire a damné un saint.
- Rien de cassez, mademoiselle ? Me demanda-t-il l'air inquiet
- Je vais bien, merci de le demander et je suis désoler de vous être entrée dedans
- Ce n’est pas grave.
Je ne lui laissai pas le temps de finir sa phrase et je repris ma route mais cette fois si, en regardant bien ou je mettais les pieds. Mon dieu quel honte ! Je réussi finalement à arriver à bonne destination, mais pas sans encombre. Je fus sur le choque en voyant l'université, elle était d'une tel grandeur, sur internet je la voyais beaucoup plus petite. Je pris mon courage à deux mains est je me suis diriger vers le hall d'entrée qui étais surveiller par deux grand vigile avec des chien tout aussi grand. A côté de ses deux là j'avais l'air d'une naine avec mon 1m50, je tenais ma taille de ma grand-mère maternel et de mon père j'ai héritier de ses yeux vert et ses cheveux brun. A l'école ont m'appeler Miss Fléau à lunette.
Quel grandeur !je me sens de plus en plus petit à chacun de mes pas, tout en posant mon sac à doc sur le premier banc de libre, je me mis à fouiller frénétiquement mon emploi du temps et ainsi que mon plan de la fac. Au bout de quelque minute je trouvai enfin ce que je désirer. Mon premier cour se passe dans la salle 105, l'histoire du journaliste avec Mr Molina. Il me reste plus qu'à trouver cette fameuse salle, je jetai un rapide coup d'œil sur mon petit plan qu'on m’avait donné lors de mon inscription. D'après le plan elle se situe dans l'allée A, pour moi c'était comme du chinois ce plan, je pris donc mon courage à deux mains et je me dirigeai vers un petit groupe:
- Bonjour, excusez-moi de vous dérangé, je voudrais savoir où se trouve la salle 105?
- Salut, justement il faut attendre ici monsieur Molina me répondit la jeune fille blonde comme les blés avec un accent qui était sûrement du Texas et elle était à peine plus grande que moi.
- Merci beaucoup
- Je m'appelle Brooke et toi?
- Breanna
- Je vais te présenter au groupe, alors lui c'est Timmy; elle me montra un garçon avec des cheveux noir, il était de taille moyenne. Elle s’est Victoria; Elle était d'une beauté à couper le souffle, cheveux auburn qui lui arrivèrent à la taille, elle devait au moins mesurer 1m75 et elle était habillée à la dernière mode.
- Enchanté de vous rencontrer leur dit-je d'une toute petite voix
- Tu viens de France? Me demanda victoria tout en faisait claquer son chewing-gum entre ses dent
- Oui. Dans la bourgade de Foix
- Cool me dit-t-elle
- Tient voilà monsieur Molina qui vient vers nous.
Quand il eut fini de faire l'appel, il nous emmena dans notre salle de classe. Elle était assez étroite avec un affreux mur de couleur vert pomme. On devait être au moins une bonne vingtaine d'étudiants. Cela me semblais vraiment bizarre, quand je mettais inscrite à ce cours, on m’avait dit qu'il n'y a plus de place et j'avais dû attendre une bonne semaine pour qu'on me dise que finalement il rester une place pour ce cours si convoiter par les étudiants. «Breanna, concentre-toi sur ton cours. » Pensai-je en ronchonnant
Il faut que vous vous choisissiez un sujet pour un reportage. Évidemment, il faudra un thème historique. Avez-vous des questions?
- Faudra-t-il être en groupe? Demanda un garçon qui je crois s'appelle John
- Jeune homme, votre question n'a pas lieu d'être
- Mais... Mais ce mit-t-il a bégayée
- Puisque que vous n’avez pas de question, je vais vous expliquer ce que j'attends de vous. C'est un projet que vous devais faire tout seul, vous aurais trois semaine pour le réalisé. Je vais vous faire passer une feuille avec vos instructions pour votre projet.
Il nous fit donc passer les instructions, un mec roux d'une pâleur extrême me passa ma fiche de consigne. Quand ses doigts m'effleura je ressentie une sorte de décharge électrique plutôt désagréable. Et en plus il était tellement froid que cela me fit l'effet d'avoir mis les deux mains dans un congélateur. Je me dépêchai donc de prendre ma fiche, il me fait vraiment peur, mais comme je ne veux pas lui montrer je me contentai de le regarder droit dans les yeux comme on me l’avait appris chez les scouts. Cela eu pour effet de le faire sourire. Et là je vous jure! Je crue voir de dent plutôt pointue qui briller avec la lumière du jour. Je devais sûrement rêver, car cela ne peut être possible. Je reportai mon attention sur cette fameuse liste et me mit sans m'en rendre compte à la lire à haute voix, mais en français ce qui eut pour effet de me fait encore plus remarquer par la classe. Et donc de Monsieur je me la raconte:
- Alors, mademoiselle Robel, avez-vous quelque chose à nous faire partager?
- Non, monsieur je me la ra...
Évidemment cela eu pour résultat de faire rire toute la classe, sauf bien sûr le prof et aussi celui qui sembler être le chouchou de Mr Molina.
- euh, monsieur Molina
- Levez-vous et vous allez nous lire ce que j'attends de la classe et bien sûr cette fois en anglais.
- Bien
Je me levai donc de mon siège et me mit à lire:
«Consigne n°1: réaliser le travail seul sans aucune aide
Consigne n°2: l'effectuer avec une caméra pour illustré votre sujet
Consigne n°3: Vous avez trois semaines pour le terminer.
II
Des nouveaux amis cool
Après cette longue journée je n'avais qu'une envie me coucher. Depuis ce matin je n'arrêter pas de penser à l'incident que ma maladresse avais causé. Mais plus particulièrement du bel étranger que j'avais percuté de plein fouet. Je suis une idiote il aller se présenter, mais je ne lui est pas laisser le temps, je sais vous vous demander bien pourquoi? Eh bien! Pour la simple raison que je venais de me foutre tout simplement la honte. Je ne pouvais tout de même pas lui dire: «salut je m'appelle Breanna Robel et comme vous l'avez remarqué je suis d'une grand maladresse.». Cela aurais était vraiment plus ridicule que de lui foncez dessus. En plus pour ne pas arranger le tout, mon prof principal et tout simplement un connard et je pèse mais mots. Ma première journée ne s'était pas tout à fait dérouler comme je l'espérai. Mais bon, qui puis-je. Je pris la direction de mon casier, pour pouvoir récupérer mes affaires. Ensuite je pourrai dormir du sommeil du juste, du moins je l'espère. Au moment où je mis attendez pas, une main ce posa sur mon épaule, ce qui eu pour effet de ma faire sursauter.
- Excuse-moi je ne veux pas te faire peur me dit une petite voix familière
- Ce n'ai rien, Brooke je sursaute tout le temps car je suis une vrai poule mouiller
- OK je m'en rappellerais à l'avenir
- C'est gentil de ta part, au faite tu veux me parler?
- Ah oui! J'allais oublier, veut-tu venir avec Victoria, Timmy et moi boire un verre
Je trouver ça sympa de leur parts de vouloir m'accueillir dans leur groupe, mais franchement je suis tout simplement lessiver par ma journée.
- C'est cool de votre part mais pour te dire la vérité je suis crevé
- d'accord, c'est dommage me dit-t-elle l'air déçu
Au moment où elle s'apprête à faire demi-tour, je lui dis;
- « C'est OK pour ce soir mais pas trop longtemps »
- Génial, ne bouge pas d'ici, je vais cherchez les autres
- Pas de problème
Je ne sais pas ce qui m’a pris de dire oui finalement, enfin si je sais, je n'ai jamais pu dire non. Tant pis! Pour ma soirée de libre, je vais peut-être apprécier et puis je me plein toujours de ne pas avoir d'amis. Pour une fois que je rencontre des personnes « cool » autant en profiter un maximum.
- Je suis contente que tu aies fini par dire oui dit Victoria
- Ouais, tu vas voir on va bien amuser enchérie Timmy
On prit la voiture de brooke, c'était une chevrolet décapotable de couleur bleu. En un mot sublime pour une voiture. Une fois j'ai essayée de passer le permis, ce fut une horreur. Encore une fois je fus victime de ma poise. Depuis ce jours ou j'ai bien failli entrer dans la boutique du vieux Macpherson je me suis fait la promesse de ne plus retentais le coup et jusqu'à présent je n'ai pas dérobée à la règle. J'espère ne pas rentrer trop tard, la nuit me fait peur et plus encore depuis que j'ai emménagé dans cette ville plein de mystère et j'ai l'impression d'être surveiller en permanence depuis mon arriver ce qui évidemment est faux car qui voudrait me suivre dans ma vie si ordinaire. La réponse personne ! Donc je me fais des films comme toujours.