Le prologue
Je m'avançai tout doucement vers elle d'un pas menaçant. Je pouvais ressentir sa peur, elle dégageait un doux parfum sucré qui était agréable quand elle effleura mes narines. Je humai l'air et je dois bien l'avouer que c'était aussi attirant que le sang chaud qui coule dans les veines. Mes crocs commençaient à sortir de mes gencives sans que je ne puisse les empêcher. Elle devient livide et je pouvais voir dans ses yeux d'un magnifique bleu azur qu'elle une avait confiance aveugle en moi. Ma bouche devint pâteuse, elle réclamait ce sang dont elle avait été tant privée depuis si longtemps. Je passai ma langue sur mes lèvres avec envie. Mon regard se posa sur son cou tellement tentant. Dans mes oreilles je pouvais entendre battre son coeur et le sang circuler dans ses veines. Je m'approchai d'elle, en lui disant :
- N'est pas peur, ça va aller vite.
Je la plaquai contre moi avec force et je lui pris la tête entre mes mains pour qu'elle incline légèrement la tête. Je la regarda une dernière fois avant de plonger mes crocs dans son cou. Au début, elle voulu me repousser, mais je suis bien trop fort pour elle. Le contact de son sang chaud dans ma bouche et tellement attrayant. Je la relâcha en la laissant tomber à terre. Un léger soupir de bien-être s'échappa de ma bouche. Je l'allongea sur son lit. Puis à contre-coeur je dus partir par la fenêtre. Personne de doit savoir ce qu'il ses réellement passé ce soir.
Chapitre 1
La neige tombé lentement sur mon visage, je trouva son contact sur ma peau pas désagréable, car le froid me prouvais que j'étais vivante. J'habite un petit appartement avec mon père situé dans la modeste ville de Hope péninsule de Kenaï. Je vivais ici depuis l'âge de 6 ans à la mort de ma mère qui est morte en couche. Avant on habité dans la ville de Los Angeles. Mais suite au décès de ma cher maman. Mon paternel c'est mis à boire. Il est saoul du matin au soir et il arrive à garder son travail de gardien d'immeuble, parce que personne de veux faire se boulot. C'est pour ça que quand je rentre du lycée, je me cache derrière l'immeuble et je m'assoir sur un vieux chêne qui me serre de banc. C'est froid l'hiver, mais qu'importe cela me permet de ne pas subir sa «colère» face à mon existence. Je le haie vraiment que des fois je fais le souhait qu'il meurt. Ensuite je me reprend,car il ne faut pas parler de la sorte. Il n'est pas parfait mais il reste tout de même mon père. Le soir je mange dehors, en compagnie des étoiles enfin l'été. Je fais ça depuis que j'ai 10 ans. C'est une sorte de rituel quotidien. J'ouvris mon sac à dos noir avec écrit dessus «Le monde est cruelle». Pour y prendre le sachet ou je met la nourriture que j'achète à l'épicerie à la sortie des cours. En dîner j'ai mon sandwiche à la dinde mayonnaise et bien sûr un paquet de chics sauce barbecue. Sans oublier ma canette de cola cola. Voilà à quoi ce résume mon alimentation quand je ne suis pas au lycée. Manger des sandwiche c'est l'idéal, car ça se mange vite et sans laisser de trace. Au loin, j'entendis des voix qui se chamailler, c'est encore Henri et Emily. C'est deux là ! Passe leur temps à se disputé pour des broutille. Voilà à quoi se résumé ma vie. Le matin je me lève pour aller à l'école, puis je suit les cours, sans oublier bien sûr les brimade des autres élèves, après le lycée je vais à l'épicerie j'y reste environs pendant une demi-heure et enfin je me retrouve là pour manger. Je jeta ce qui resté de mon repas dans mon sac. Je me leva à regret pour regagner chez moi. Depuis la fois ou mon père qui était ivre m'a enfermé dehors, je laisse la fenêtre de ma chambre légèrement ouverte. J'étendis les bras pour pouvoir abaisser l'échelle de secours. Une fois à ma hauteurs je pouvais escalader en toute sécurité. Je monte jusqu'au deuxième étage, puis je me glisse dans ma chambre en faisant attention à ne pas tomber.
Je me baisse pour enlever mes vieille baskets usé. j'enlève mon sac de mon dos pour le poser à côté de mon lit. De la pièce voisine j'entendis la voix de mon père ;
- Gabriella, vient ici tout de suite s'exclama-t-il avec difficulté en hésitant sur chaque syllabe.
Il peux toujours courir ! Je ne vais certainement pas aller dans le taudis qui lui serre de chambre. S'il m'appelle c'est qui veux passé c'est nerf sur quelqu'un et bien ça ne sera pas moi. Je me jette sur mon lit, en prenant mes écouteurs que je mis dans mes oreilles. Je mis le son au maximum de mon lecteur mp3. J'écoutai mon album préféré de Queen. A chaque fois ou je suis pas bien, je l'écoute en boucle et cela m'aide à me sentir mieux. Je me nomme Gabriella Carter, mais vous pouvez aussi m'appelai Gaby. Ma vie est un enfer depuis tant d'année que j'ai du mal à me rappeler quand j'ai étais heureuse pour la dernière fois. Je suis une simple jeune fille de 17 ans. J'ai les cheveux de couleur auburn, je porte des lunettes à monture noir, un visage plutôt banal et je mesure 1 mètres 55.
Je me mit à chantonné la chanson The Show Must Go On. C'est mon groupe préféré depuis que j'ai entendu une de leurs chanson qui passé à la radio dans un magasin. En l'écoutant, je me suis senti en vie. Leurs chanson arrive à me toucher le coeur.
Dans un ans je partirai à la fac et je serais enfin maître de mon destin. A mon avis les gens de l'université se fous pas mal de qui ont était au lycée. De la famille d'où ont vient et de savoir si ont à de l'argent. Enfin c'est ma façon de voir le monde universitaire et mon rêve c'est de rentrer à Harvard pour étudiée le journaliste.
Je supporte le lycée, car le seul moyen pour moi d'avoir un avenir c'est de réussir à avoir une bourse d'étude. Donc pas question de louper un seul jour d'école et d'avoir la moindre mauvaise note. Les garçons de mon âge son tellement cruel envers leur semblable. Pour eux, ce montrer impitoyable est synonyme de virilité. «Virilité» tu parle ! Je dirais plutôt des hommes de neandertal, tout droit sorti de leurs caverne.
Quant aux fille, depuis ma sixième, je suis leurs souffre douleur. Faut dire que je rentre pas tout à fait dans le moule. Elles sont superficiel et j'aime la littérature. Elles passent leurs temps à draguer, je suis timide et bien souvent quand un garçon me parle je ne le regarde jamais dans les yeux. Je suis donc une proie facile pour eux et leurs manigance à mon encontre. Je ferma les yeux et j'attendis que le sommeil vienne pour emmener dans un endroit peuplé de rêve, tellement mieux que la réalité. Il ne tarda pas à venir, car déjà je me senti transporté à travers le monde de l'imaginaire.
Un bruit dehors me réveilla à l'aube. Je me leva en faisant attention à ne pas faire de bruit pour ne pas le réveillée. Je me posta devant la fenêtre pour regarder qui à pu faire autant de bruit. Je ne voyer rien de particulier. Le chien des voisins d'en dessous était dehors en train de hurler à près quelque chose d'invisible à mes yeux. Il n'y a rien, j'ai du avoir une hallucination. Quand soudain, j'aperçus du coin de l'oeil. Un magnifique jeune homme d'une carrure impressionnante. Malgré le peu de lumière que reflété le réverbère, je le voyer bien. Ses traits était fin, sa peau matte et ses cheveux était coure. Je sursauta et lentement je recula. Il venais de poser son regard sur moi. Ses yeux sont d'un violet aux éclats brillant. En vitesse, je ferma mon rideau. Puis je m'assis sur mon lit. En me répétant que ce n'ai pas possible. C'est sûrement un reflet de la lumière qui a fait cette effet.
La matinée de lycée commence plutôt mal. Des idiots ont peint en lettre rouge. «Gabriella est une lesbienne» sur la porte de mon casier. Des larmes coula sur mes joues blanche, sans que je puisse les empêchée. J'ouvris mon sac à dos pour y prendre mes mouchoirs et je m'avança jusqu'à la fontaine d'eau qui se trouve en face du casier. Une fois mouillée, j'appuie comme une damné sur les graffitis. C'est mon jours de chance, aujourd'hui ils ont utilisé un simple feutre.
La cloche sonna dans tout le bahut, ce qui indiqué l'heure du premier cours de la journée. Une des deux matières que je hais le plus au monde. Mathématique. La deuxième étant le sports.
A contre-coeur j'entrai dans la salle et m'assis à ma place habituelle. Au fond, là où les élèves les moins fréquentable se plaçais. Monsieur Andrews commença en nous parlant du théorème de Pythagore. Génial ! Je connais déjà tout sur ce sujet. En douceur je sortie de mon sac, un de mes livres préféré Roméo et Juliette.
Ian Moore, le «mauvais» garçon du lycée se pencha sur ma table et il se mit à écrire dessus. J'allai le stoppé, mais finalement j'en fit rien. Le professeur le punirais et j'aurais des ennuis avec sa bande. Quand il eut fini d'écrire, il retourna à ses occupation habituel. Je lu l'inscription écrite au stylo noir. «C'est vrai que tu est homo ?».
Pas la peine que je répondre à se genre de bêtise. Je me replongea dans ma lecture. Je ne sais pas ce que je ferais sans les livres.
Je m'avançai tout doucement vers elle d'un pas menaçant. Je pouvais ressentir sa peur, elle dégageait un doux parfum sucré qui était agréable quand elle effleura mes narines. Je humai l'air et je dois bien l'avouer que c'était aussi attirant que le sang chaud qui coule dans les veines. Mes crocs commençaient à sortir de mes gencives sans que je ne puisse les empêcher. Elle devient livide et je pouvais voir dans ses yeux d'un magnifique bleu azur qu'elle une avait confiance aveugle en moi. Ma bouche devint pâteuse, elle réclamait ce sang dont elle avait été tant privée depuis si longtemps. Je passai ma langue sur mes lèvres avec envie. Mon regard se posa sur son cou tellement tentant. Dans mes oreilles je pouvais entendre battre son coeur et le sang circuler dans ses veines. Je m'approchai d'elle, en lui disant :
- N'est pas peur, ça va aller vite.
Je la plaquai contre moi avec force et je lui pris la tête entre mes mains pour qu'elle incline légèrement la tête. Je la regarda une dernière fois avant de plonger mes crocs dans son cou. Au début, elle voulu me repousser, mais je suis bien trop fort pour elle. Le contact de son sang chaud dans ma bouche et tellement attrayant. Je la relâcha en la laissant tomber à terre. Un léger soupir de bien-être s'échappa de ma bouche. Je l'allongea sur son lit. Puis à contre-coeur je dus partir par la fenêtre. Personne de doit savoir ce qu'il ses réellement passé ce soir.
Chapitre 1
La neige tombé lentement sur mon visage, je trouva son contact sur ma peau pas désagréable, car le froid me prouvais que j'étais vivante. J'habite un petit appartement avec mon père situé dans la modeste ville de Hope péninsule de Kenaï. Je vivais ici depuis l'âge de 6 ans à la mort de ma mère qui est morte en couche. Avant on habité dans la ville de Los Angeles. Mais suite au décès de ma cher maman. Mon paternel c'est mis à boire. Il est saoul du matin au soir et il arrive à garder son travail de gardien d'immeuble, parce que personne de veux faire se boulot. C'est pour ça que quand je rentre du lycée, je me cache derrière l'immeuble et je m'assoir sur un vieux chêne qui me serre de banc. C'est froid l'hiver, mais qu'importe cela me permet de ne pas subir sa «colère» face à mon existence. Je le haie vraiment que des fois je fais le souhait qu'il meurt. Ensuite je me reprend,car il ne faut pas parler de la sorte. Il n'est pas parfait mais il reste tout de même mon père. Le soir je mange dehors, en compagnie des étoiles enfin l'été. Je fais ça depuis que j'ai 10 ans. C'est une sorte de rituel quotidien. J'ouvris mon sac à dos noir avec écrit dessus «Le monde est cruelle». Pour y prendre le sachet ou je met la nourriture que j'achète à l'épicerie à la sortie des cours. En dîner j'ai mon sandwiche à la dinde mayonnaise et bien sûr un paquet de chics sauce barbecue. Sans oublier ma canette de cola cola. Voilà à quoi ce résume mon alimentation quand je ne suis pas au lycée. Manger des sandwiche c'est l'idéal, car ça se mange vite et sans laisser de trace. Au loin, j'entendis des voix qui se chamailler, c'est encore Henri et Emily. C'est deux là ! Passe leur temps à se disputé pour des broutille. Voilà à quoi se résumé ma vie. Le matin je me lève pour aller à l'école, puis je suit les cours, sans oublier bien sûr les brimade des autres élèves, après le lycée je vais à l'épicerie j'y reste environs pendant une demi-heure et enfin je me retrouve là pour manger. Je jeta ce qui resté de mon repas dans mon sac. Je me leva à regret pour regagner chez moi. Depuis la fois ou mon père qui était ivre m'a enfermé dehors, je laisse la fenêtre de ma chambre légèrement ouverte. J'étendis les bras pour pouvoir abaisser l'échelle de secours. Une fois à ma hauteurs je pouvais escalader en toute sécurité. Je monte jusqu'au deuxième étage, puis je me glisse dans ma chambre en faisant attention à ne pas tomber.
Je me baisse pour enlever mes vieille baskets usé. j'enlève mon sac de mon dos pour le poser à côté de mon lit. De la pièce voisine j'entendis la voix de mon père ;
- Gabriella, vient ici tout de suite s'exclama-t-il avec difficulté en hésitant sur chaque syllabe.
Il peux toujours courir ! Je ne vais certainement pas aller dans le taudis qui lui serre de chambre. S'il m'appelle c'est qui veux passé c'est nerf sur quelqu'un et bien ça ne sera pas moi. Je me jette sur mon lit, en prenant mes écouteurs que je mis dans mes oreilles. Je mis le son au maximum de mon lecteur mp3. J'écoutai mon album préféré de Queen. A chaque fois ou je suis pas bien, je l'écoute en boucle et cela m'aide à me sentir mieux. Je me nomme Gabriella Carter, mais vous pouvez aussi m'appelai Gaby. Ma vie est un enfer depuis tant d'année que j'ai du mal à me rappeler quand j'ai étais heureuse pour la dernière fois. Je suis une simple jeune fille de 17 ans. J'ai les cheveux de couleur auburn, je porte des lunettes à monture noir, un visage plutôt banal et je mesure 1 mètres 55.
Je me mit à chantonné la chanson The Show Must Go On. C'est mon groupe préféré depuis que j'ai entendu une de leurs chanson qui passé à la radio dans un magasin. En l'écoutant, je me suis senti en vie. Leurs chanson arrive à me toucher le coeur.
Dans un ans je partirai à la fac et je serais enfin maître de mon destin. A mon avis les gens de l'université se fous pas mal de qui ont était au lycée. De la famille d'où ont vient et de savoir si ont à de l'argent. Enfin c'est ma façon de voir le monde universitaire et mon rêve c'est de rentrer à Harvard pour étudiée le journaliste.
Je supporte le lycée, car le seul moyen pour moi d'avoir un avenir c'est de réussir à avoir une bourse d'étude. Donc pas question de louper un seul jour d'école et d'avoir la moindre mauvaise note. Les garçons de mon âge son tellement cruel envers leur semblable. Pour eux, ce montrer impitoyable est synonyme de virilité. «Virilité» tu parle ! Je dirais plutôt des hommes de neandertal, tout droit sorti de leurs caverne.
Quant aux fille, depuis ma sixième, je suis leurs souffre douleur. Faut dire que je rentre pas tout à fait dans le moule. Elles sont superficiel et j'aime la littérature. Elles passent leurs temps à draguer, je suis timide et bien souvent quand un garçon me parle je ne le regarde jamais dans les yeux. Je suis donc une proie facile pour eux et leurs manigance à mon encontre. Je ferma les yeux et j'attendis que le sommeil vienne pour emmener dans un endroit peuplé de rêve, tellement mieux que la réalité. Il ne tarda pas à venir, car déjà je me senti transporté à travers le monde de l'imaginaire.
Un bruit dehors me réveilla à l'aube. Je me leva en faisant attention à ne pas faire de bruit pour ne pas le réveillée. Je me posta devant la fenêtre pour regarder qui à pu faire autant de bruit. Je ne voyer rien de particulier. Le chien des voisins d'en dessous était dehors en train de hurler à près quelque chose d'invisible à mes yeux. Il n'y a rien, j'ai du avoir une hallucination. Quand soudain, j'aperçus du coin de l'oeil. Un magnifique jeune homme d'une carrure impressionnante. Malgré le peu de lumière que reflété le réverbère, je le voyer bien. Ses traits était fin, sa peau matte et ses cheveux était coure. Je sursauta et lentement je recula. Il venais de poser son regard sur moi. Ses yeux sont d'un violet aux éclats brillant. En vitesse, je ferma mon rideau. Puis je m'assis sur mon lit. En me répétant que ce n'ai pas possible. C'est sûrement un reflet de la lumière qui a fait cette effet.
La matinée de lycée commence plutôt mal. Des idiots ont peint en lettre rouge. «Gabriella est une lesbienne» sur la porte de mon casier. Des larmes coula sur mes joues blanche, sans que je puisse les empêchée. J'ouvris mon sac à dos pour y prendre mes mouchoirs et je m'avança jusqu'à la fontaine d'eau qui se trouve en face du casier. Une fois mouillée, j'appuie comme une damné sur les graffitis. C'est mon jours de chance, aujourd'hui ils ont utilisé un simple feutre.
La cloche sonna dans tout le bahut, ce qui indiqué l'heure du premier cours de la journée. Une des deux matières que je hais le plus au monde. Mathématique. La deuxième étant le sports.
A contre-coeur j'entrai dans la salle et m'assis à ma place habituelle. Au fond, là où les élèves les moins fréquentable se plaçais. Monsieur Andrews commença en nous parlant du théorème de Pythagore. Génial ! Je connais déjà tout sur ce sujet. En douceur je sortie de mon sac, un de mes livres préféré Roméo et Juliette.
Ian Moore, le «mauvais» garçon du lycée se pencha sur ma table et il se mit à écrire dessus. J'allai le stoppé, mais finalement j'en fit rien. Le professeur le punirais et j'aurais des ennuis avec sa bande. Quand il eut fini d'écrire, il retourna à ses occupation habituel. Je lu l'inscription écrite au stylo noir. «C'est vrai que tu est homo ?».
Pas la peine que je répondre à se genre de bêtise. Je me replongea dans ma lecture. Je ne sais pas ce que je ferais sans les livres.